Notre ami et collègue du groupement ANOCR47, le Lt-Col Jacques Peyrard après un premier roman "Feliciano, la guerre et l'amour" nous offre un second roman "Gaspard L'ariégeois".
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Le XIVe siècle fut particulièrement calamiteux, il éprouva impitoyablement les populations de France.
C’est en cette époque que vécut Gaspard l’Ariégeois, qui grâce à un habile subterfuge se glissa dans la peau d’un nobliau. Son intelligence lui permit de s’approprier cette nouvelle identité, au point d’être identifié comme tel, dix ans plus tard, par la famille du disparu.
Son ami confident lui disait : « Le mensonge qui fait du bien vaut mieux que la vérité qui fait du mal. » .
En pensée il pria : « Seigneur, ta main me conduit, de quoi aurais-je peur ? »
Des extraits:
......« Les rencontres hasardeuses sont comme le vent, quand elles nous effleurent en douceur, c’est agréable. Voilà ce qu’il a ressenti en voyant cette jeune fille aux yeux de biche, il l’avait déjà croisée au cours de ses déplacements dans la ville. Aujourd’hui, ils étaient seuls sur cette grève, avec les mouettes, il pouvait l’observer à loisir, son regard était envoutant, elle était excitante et tendre du corsage. » ......
« Le bateau n’est plus qu’une coquille de noix dans cette immensité apocalyptique, il est le jouet des flots, il s’élève, plonge, submergé par d’énormes vagues, l’équipage pousse des cris de terreur, les bois craquent, les éclairs zèbrent l’obscurité… c’est la fin du monde, les membres de l’État-Major prient quand chaque vague vient se briser sur la coque en rugissant. » ......